Déclin de la biodiversité : un enjeu pour la financer
Le chiffre est alarmant : 42% de la valeur des titres détenus par les institutions financières françaises provient d’entreprises dépendantes de services écosystémiques, comme l’eau, l’alimentation ou la pollinisation. L’interdépendance entre le domaine bancaire et le bien-être des écosystèmes met en péril la stabilité financière et la fiabilité des investissements, à l’heure où un million d’espèces pourraient disparaître.